Circuits à la demi-journée (4 à 5h)
Col de l’Iseran (2770m) à partir de Val d’Isère (34 km, 900m D+)
Une classique, célèbre par son franchissement à 2770 m. Le col de l’Iseran est le col routier le plus élevé d’Europe. La route déroule ses lacets dans un magnifique paysage de haute montagne. La pente se raidit après le pont St-Charles. Ensuite, il faut tenir sur la grosse dizaine de kilomètres restant, avec quelques passages à 8/9%.
Mottaret – Courchevel altiport (2000m) A/R par La Tania (55 km, 1450m D+)
Difficulté entre Le Praz (Courchevel 1300) et Courchevel 1550. La montée à l’altiport réserve également de bons pourcentages. A partir du Praz la circulation est importante.
Mottaret – La Tania – Couchevel 1300 – Bozel – Pralognan – Bozel – Montagny – Brides-les-Bains – Mottaret (87km, 2050m D+)
Une bien jolie boucle qui enchaine la montée à Pralognan, la légère remontée de Bozel à Montagny puis l’ascension finale vers Mottaret. La montée vers Pralognan est très agréable, ombragée à partir du Villard, avec une pente raisonnable, suivie d’un bon plat vers Planay. Il faut attendre les derniers virages avant Pralognan pour que la route se relève. Les paysages de Vanoise sont somptueux.
Depuis Montagny descente par une mauvaise route aérienne vers Brides (en montée ce doit être très dur). Puis c’est la remontée vers Mottaret, avec traffic soutenu et quelques bonnes pentes. On prend son mal en patience en fonction des forces restantes …
Aigueblanche – La Léchère – Col de la Madeleine (2000m) – St François Longchamps A/R (2000m D+, 73km)
Une autre classique parmi les classiques, qui relie les vallées de Tarentaise et de Maurienne par un col à 2000m d’altitude. La montée depuis la Léchère est plus longue que depuis La Chambre (côté Maurienne), mais l’ascension est plus irrégulière, alternant forts pourcentages comme à la sortie de la Léchère ou après Celliers et faux plat qui permet la récupération après Bonneval. C’est long … Quand de surcroît l’orage surprend à la descente depuis le col avec une température qui chute de 10 degrés, ça devient carrément dantesque, et la descente mains sur les freins dans une atmosphère fantomatique et glaciale semble presque plus longue que la montée.